Bonjour,
Depuis sa création en décembre 2013, ce blog lycéen a permis l'édition de plus de 400 articles. Il a ainsi vécu régulièrement, permettant rencontres et moments de convivialité studieuse. Plusieurs éditions papier ont aussi vu le jour. Quelle belle aventure ! Il n'est pas facile de maintenir la motivation de chacun égale au fil du temps. Ce blog est donc en pause depuis janvier 2017. Gageons qu'il renaîtra un jour. À bientôt !
Armel Le Cléach, vainqueur du Vendée Globe 2016-2017, a franchi la ligne d’arrivée de cette course le 20 janvier 2017 à 16h37. En bouclant le tour du monde en 74 jours, le skipper breton pulvérise le record détenu par François Gabart en 2013 qui était de 78 jours, 2 heures et 16 minutes.
Son adversaire le Gallois Alex Thomson est arrivé 16h après lui à 74 jours, 19 heures et 35 minutes. Le dernier skipper arrivé sur le podium est Jérémie Beyou. Il décroche ainsi la 3ème place en terminant cette course le lundi 23 janvier à 19 heures et 40 minutes. Puis ont franchi la ligne d'arrivée Jean-Pierre Dick (25 janvier 14h47), Yann Elies (25 janvier 16h13) et Jean le Cam (25 janvier 17h43). Les autres participants sont attendus aux Sables d’Olonne dans les semaines qui suivent.
Un défi en solitaire
Le Vendée Globe a été surnommé « l’Everest des Mers » en raison de son niveau de difficulté. Cette course consiste à réaliser le tour du monde à la voile en solitaire.
Sans escale et sans assistance, les skippers ne peuvent recevoir aucun matériel technique pendant la course. Les navigateurs qui se lancent dans cette course qui dure pour certains plus de 100 jours, acceptent de courir de nombreux risques. Plusieurs skippers ont été portés disparus dans des tempêtes comme Mike Plant lors de l’édition 1992-1993 et Gerry Roufs en janvier 1996 qui déclarait dans son dernier message : « les vagues ne sont plus des vagues, elles sont hautes comme les Alpes ».
Une préparation longue et intense
Les skippers suivent une préparation intense pendant les mois et mêmes les années qui précèdent leur départ. Certains privilégient la préparation mentale, comme le Britannique Alex Thomson et le Français Yann Eliès, d’autres les entrainements physiques comme le Français Armel le Cléac’h. Celui-ci s’est préparé par des séances régulières de natation, de musculation et de course à pied. Cela lui a permis d’améliorer son endurance et sa force musculaire afin d’assurer une bonne vitesse d’exécution des manœuvres et un bon équilibre sur le bateau.
De son côté, Alex Thomson a pratiqué l’imagerie mentale pour visualiser les enchainements, les situations diverses à bord et ainsi contrôler le stress.
Les skippers ont aussi tous suivi une formation de secourisme pour être en mesure de se recoudre eux-mêmes. Bertrand de Broc aurait sûrement souhaité s’être entrainé à se recoudre à vif sur terre avant de devoir le faire en pleine mer lorsqu’il s’est coupé la langue suite à un choc avec une drisse (corde) en 1993.
Les skippers apprennent à lutter contre le froid et à gérer leur fatigue. Ils ne peuvent dormir pendant les longs mois à bord que par siestes de vingt minutes. Ils suivent donc un rythme de vie très particulier dans leur voilier, en adoptant une alimentation adaptée aux besoins d’un athlète en plein effort.
Le parcours suivi
Des bateaux toujours plus performants
Chaque année le record est amélioré. Le record de l’édition 2012 était détenu par François Gabart qui avait terminé cette course en 78 jours.
Ce record battu à chaque édition du Vendée Globe peut s’expliquer par la performance des bateaux constamment améliorée grâce à de nouveaux équipements. La dernière technologie hydrodynamique dont sont équipées 7 voiliers sur 29 du Vendée Globe 2016-2017 sont les foils. Ce sont des ailes courbes qui dépassent du haut de la coque et permettent un gain de vitesse (2 à 3 nœuds de plus) car elles réduisent la trainée du monocoque en élevant un peu le bateau au dessus de l’eau. Les foils restent surtout efficaces pour les vents de travers.
Ces nouveaux équipements sont cependant sources de vibrations. Les accélérations fortes qu’il permettent, créent des secousses constantes pour le skipper et des forces énormes sur la structure du bateau. Voyez sur la photo les foils noir du bateau de Alex Thomson.
Constantin
Le jeudi 17 novembre s'est envolée la fusée Soyouz depuis la base de Baïkonour au Kazakhstan direction la Station Spatiale Internationale (ISS). A son bord, trois astronautes : le Français Thomas Pesquet, le Russe Oleg Novitsky et l'Américaine Pegy Whitson.
Dans quel but s'effectue cette mission de six mois à bord de l'ISS ? Quel parcours Thomas Pesquet a t-il suivi pendant les longues années de préparation qui ont abouti à ce décollage tant attendu ?
Thomas Pesquet
Thomas Pesquet est le dixième français à être envoyé dans l'espace. Né en 1978, l'astronaute français est à ce jour ceinture noire de judo et pratique de nombreux sports dont l'alpinisme, la plongée sous-marine et le parachutisme. Après avoir suivi une classe préparatoire au lycée Pierre Corneille de Rouen, il intègre l’École Nationale Supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace de Toulouse (Supaéro). Il obtient en 2006 sa licence de pilote de ligne suite à sa formation Air France. Il passe la majorité de ses heures de vols sur A320.
Sa carrière d’astronaute débute en 2009 lorsqu’il sélectionné par l’ESA (European Space Agency) pour rejoindre l’ISS. Des informations complémentaires sur l’ESA sont données ici :
Pour se préparer à sa mission spatiale, Thomas Pesquet suit un long programme d’entrainement technique en Europe, aux Etats-Unis et en Russie afin de tester les combinaisons spatiales, piloter le vaisseau spatial Soyouz et connaître le fonctionnement des systèmes de la Station Spatiale Internationale. Il est ensuite affecté en mars 2014 à la mission Proxima.
Il a décollé en novembre 2016 pour un voyage de 6 mois de l’espace. La taille de sa valise est plutôt optimisée !
La mission Proxima
A 400 kilomètres au dessus de la Terre, les trois astronautes de l’ISS font le tour de la Terre en seulement 1h30. En orbite à 28000km/h, ils réalisent 16 fois le tour de la Terre chaque jour.
La mission de 6 mois à laquelle ils sont affectés a pour objectif de faire avancer les recherches de la science grâce à des expériences diverses en mécanique des fluides, en croissance des plantes et en sciences de la vie. De nouvelles connaissances pourront ainsi être acquises sur le corps humain, la physique, la biologie et les nouvelles technologies.
Thomas Pesquet témoigne : « Si nous partons dans l’espace, ce n’est pas pour nous-mêmes, mais parce que nous croyons que c’est utile pour tout le monde sur Terre. C’est une aventure collective, née des rêves et du travail d’une multitude de personnes. C’est pourquoi je tiens à la faire partager au plus grand nombre. »
Le retour du Français sur Terre est prévu en mai 2017.
Voici quelques photos que Thomas Pesquet poste sur Facebook, si vous voulez les suivre, likez sa page Facebook !
Constantin
Les portes ouvertes
L'EPFL (Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne) organise chaque année des journées portes ouvertes de deux jours.
Le jeudi 1er décembre et le vendredi 2 décembre, une quinzaine de lycéens en terminale à Jeanne d'Arc se sont rendus à ces journées spécialement conçues pour faire découvrir à des futurs étudiants les nombreux domaines d'étude d'ingénieurie proposés par l'EPFL.
Après avoir assisté à la séance générale d'information dans un amphitéâtre, nous avons pu écouter des conférences sur les différentes filières que choisissent les étudiants de première année. Ces filières sont les suivantes :génie électrique et électronique, microtechnique, génie civil, architecture, génie mécanique, génie des matériaux, mathématiques, physique, chimie et génie chimique, systèmes de communications, informatique, sciences et technologie du vivant, sciences et ingénieurie de l'environnement.
La deuxième journée à l'EPFL s'est organisée autour de stages dans chacune de ces filières. Nous avons ainsi pu découvrir les laboratoires et salles de cours dans lesquels travaillent les étudiants.
L'EPFL
En plus des différentes filières évoquées ci-dessus, l'EPFL propose également une année préparatoire à la 1ère année : le CMS (Cours de Mathématiques Spécial). Cette filière s'adresse notamment aux élèves n'ayant pas obtenu des note suffisantes au Bac pour être admis directement en 1ère année.
L'EPFL admet en 1ère année les élèves français qui ont obtenu une mention Très Bien au Bac (16 est la note minimale requise). Des informations plus précises sur l'admission notamment pour les élèves ne passant pas un Baccaularéat Européen sont données ici :
Le cursus d'ingénieur à l'EPFL se déroule en cinq ans. Néanmoins, une sélection a lieu entre les années puisque la moitié seulement des étudiants de 1ère année sont admis en 2ème année. Le taux d'admission dans les années suivantes remonte à 80%. Le diplôme de Bachelor est délivré à la fin de la 3ème année. Puis 23 programmes de Master ainsi que 5 Masters spécialisés sont proposés. La totalité de ces masters sont réalisés en anglais. Des informations plus précises sur les Masters de l'EPFL sont données ci-joint :
Les étudiants diplômés à l'issue de ces 5 années peuvent poursuivre leur études avec un doctorat ou se lancer dans la vie professionnelle. Ces étudiants trouvent généralement un emploi dans les 3 mois après la fin de leurs études, parfois dans l'entreprise dans laquelle ils ont réalisé leur stage d'ingénieur. Cette bonne insertion professionnelle s'explique notamment par la renommée du diplôme du Master de l'EPFl !
Des bâtiments comme Le Swiss Convention Center et le Rolex Learning Center reflètent la qualité des infrastructures de l'EPFL.
De plus, 20% de la ville de Lausanne étant étudiante, la vie culturelle et associative à l'EPFL est très riche, avec des concerts très connus (Balélec), des spectacles ou des festivals.
Pour tous les futurs étudiants qui souhaitent intégrer l'EPFL l'année prochaine, il est conseillé rechercher activement et à l'avance des logements à Lausanne car les places dans les résidences étudiantes sont rares !
Constantin
Aujourd’hui, notre président a décidé de centrer son programme sur l’éducation nationale, un sujet qui, j’en suis sûre, saura vous intéresser en tant que lycéen :
« Moi président, je réformerais l’éducation nationale de manière à créer un programme d’une année supplémentaire au lycée afin de se mettre au même niveau que nos pays voisins. Cela permettrait aux élèves d’avoir le temps d’acquérir d’avantages de maturité, mais aussi d’uniformiser les systèmes éducatifs en Europe. De plus, je trouve qu’on ne nous apprend pas suffisamment à réfléchir par nous-même, par exemple on ne nous enseigne pas assez à utiliser notre créativité pour régler un problème concret ».
En somme, l’objectif de notre président est de mieux nous préparer à la vie réelle en modifiant le programme éducatif en ce sens, tant sur sa durée que sur son contenu. En un sens cette réforme aurait un impact non seulement sur le quotidien des écoliers français, mais aussi sur les futurs décideurs de la France.
Une réforme qui pourrait intéresser une certaine Najat Vallaud-Belkacem, n’est-ce pas ? ou notre prochain ministre de l’éducation…
tchoup
Tout le monde aime la pizza, mais quand on la fait soi-même, elle n’en est que meilleure…
Ingrédients :
Un rouleau de pâte à pizza
Une préparation de sauce tomate pour pizza
Une boule de mozzarella
En supplément :
Des rondelles de chorizo
Un œuf
Des anchois
Des champignons
1) Préchauffer le four à 200°C. Dérouler la pâte à pizza, puis étalez environ 6 cuillères à soupe de sauce tomate.
2) Répartir le jambon, ainsi que les tranches de mozzarella.
3) Ajouter des suppléments comme des anchois, du chorizo ou des champignons.
4) Enfourner pendant 18 à 20 minutes. Au bout de 10 minutes environ, on peut ajouter un œuf afin qu’il ne soit pas trop cuit, et qu’il soit au contraire encore légèrement coulant.
5) A servir accompagné d’une petite salade.
Bon appétit !
tchoup
LISONS !
Le CVL (Conseil de Vie lycéenne) installe pour tous une boîte à livres.
C’est LA PETITE BIBLIOTHÈQUE.
Le principe est simple : il s’agit d’une étagère installée dans le hall du lycée, à proximité de la machine à café des élèves, vers le secrétariat, dans laquelle chacun est invité à déposer les livres qu’il souhaite partager avec autrui et à piocher parmi les livres mis à disposition.
Destinée à tous, cette PETITE BIBLIOTHÈQUE vous permettra de partager vos coups de cœur et de découvrir ceux des autres.
BD, Romans, Mangas, Poésie, Théâtre… tous les genres sont admis et dans toutes les langues !
La petite bibliothèque est désormais opérationnelle. Vous pouvez apporter vos livres et emprunter pour un jour ou pour toujours ceux qui s’y trouvent.
Bienvenue chez vous.
Donnez, prenez, lisez !
Le CVL
La jeune fille qui a vaincu Daesh est le témoignage d'une jeune irakienne enlevée par Daech en 2014, recueilli et rédigé par Mme. Andrea C. Hoffmann et publié le 7 avril 2016 aux éditions Hugo & Cie.
Farida Kahlaf fait partie d'une communauté religieuse minoritaire appelée la communauté Yézidie. Avant d'être enlevée par les hommes de l’État Islamique, elle vivait à Kocho, un village de mille sept cent habitants, situé dans la plaine Sud des monts Sinjar, au nord de l'Irak. C’est le 15 août 2014 que sa vie bascule, alors qu’elle n’a que 17 ans : Daech assiège son village, assassine les hommes et enlève les femmes. Les jeunes filles vierges comme elle, sont emmenées à Mossoul puis, à Tall Afar où elles sont vendues à des hommes. L’un d’eux paie pour acheter Farida et sa camarade de classe, l'une pour lui-même et l'autre pour l'un de ses amis. Les deux filles sont amenées dans une maison délabrée. Farida comprend les intentions de son nouveau « maître » et tente de mettre fin à ses jours. L’homme, furieux, la revend à un trafiquant d’adolescentes. Elle se retrouve alors enfermée dans une pièce avec un vieux matelas pour seul mobilier. Plusieurs autres filles y sont déjà retenues prisonnières. Farida entreprend de les faire s’échapper. Alors qu’elles sont proches du succès, le maître les aperçoit et les ramène. Farida est battue violemment. Elle tente une seconde fois de se suicider... Le chef d’un camp de soldats accepte alors de la récupérer. L’argument du trafiquant : elle est têtue. Au camp, Farida retrouve son amie. Malheureusement celle-ci est désespérée. Elle lui apprend que les maîtres dece lieu sont sans pitié. Quelques jours passent et le maître de Farida ne se manifeste pas.
La jeune fille fait le ménage avec les autres. Elles sont la pour ça, en dehors de leur « devoir » sexuel. Mais un matin, les soldats rentrent du combat : ils ont gagné, sont heureux et d’humeur festive. Après un banquet le chef vient chercher Farida. Elle résiste, mord et lance des coups. Son maître la punit et il lui faut plusieurs semaines pour se remettre des coups. Alors que sa guérison est proche, le chef revient et cette fois lui prend sa vertu, si précieuse aux yeux de sa communauté. Elle se pense désormais "déshonorée" et est effondrée. Un soir, alors que les hommes sont au combat, les jeunes filles parviennent à s’emparer d’un téléphone et appellent l’oncle de l’une d’elle, résidant en Allemagne. Il réussit à leur trouver un passeur. Les jeunes filles mettent au point un plan et s’échappent. Elles rejoignent un village où des musulmans ayant pitié d’elles leur offrent l'hospitalité. Quelques jours plus tard, le passeur vient les chercher pour les ramener en Irak, dans un camp de réfugiés Yézidis. Elles y retrouvent le plus jeune des frères de Farida, qui pourtant ne se porte pas bien : les gens de sa communauté la regardent avec mépris et elle sait ce qui se dit sur elle. Elle a en effet perdu son honneur et ne pourra jamais se marier. Andrea C. Hoffmann ainsi que plusieurs autres personnes venant d’Europe viennent les voir et c’est là qu’elles se rencontrent. Elles tissent petit à petit un lien de confiance et Farida finit par se confier. Aujourd'hui, elle vit en Allemagne. Elle est scolarisée et peut poursuivre les cours de mathématiques qu’elle appréciait tant dans sa vie d’avant. Elle s’intègre à petits pas, lentement mais sûrement, et progresse dans la maîtrise de la langue du pays. Elle reçoit une aide psychologique et bien sûr, continue de voir régulièrement Andrea C. Hoffmann.
Andrea C. Hoffmann est une journaliste et auteur allemande. Elle a étudié la psychologie et a fait du journalisme. Elle est docteur en sciences médiatiques. Elle a travaillé pour plusieurs magazines de renom et évolue au sein d’organisations diverses, aidant les femmes à travers le monde et plus particulièrement dans les pays de culture musulmane. Elle a vécu dans plus de sept pays différents et parle huit langues. C’est par le biais de l’organisation WADI qu’elle a pu se rendre en Irak et aider Farida. Aujourd’hui son témoignage est publié à travers le monde dans plus de 17 langues.
La communauté Yézidie est une minorité confessionnelle monothéiste composée de 100 000 à 600 000 pratiquants parlant le kurde. Leur culture descend de l’Iran Antique. Depuis toujours, les yézidis sont persécutés par les musulmans. Tout cela résulte d’un malentendu sur l’un de leurs mythes ancestraux communs. Dans l’Islam ainsi que dans le Yézidisme, Dieu disposerait de sept anges. Le mythe raconte qu’il y a très longtemps, au commencement du monde, Dieu aurait demandé aux anges de se prosterner devant Adam. Tous auraient apparement obéi, a l’exception de l’un d’eux : Malek Taus. Les musulmans pensent que cet ange, pour avoir désobéi au seigneur, est l’incarnation du mal et que Dieu est en colère contre lui. C’est pour eux « l’ange déchu ». Les yezidis sont au contraire persuadés que si Malek Taus a refusé de se prosterner devant Adam, c’est par amour et dévotion entière pour Dieu. Malek Taus serait alors le seul à avoir réussi l’épreuve que leur proposait le Tout-Puissant. À cause de cette divergence dans leur croyance, les musulmans, majoritaires, persécutent les Yézidies pour avoir leur habitude « d’adorer et de servir le prince de l’enfer ».
Depuis plusieurs années les extrémistes de Daesh persécutent des peuples entiers, à commencer par le leur. Il est dommage que nous parlions beaucoup d'eux pendant quelques mois lorsqu'ils causent des torts en Europe pour finalement oublient jusqu’à leur existence lorsqu'ils massacrent des populations au Moyen-Orient. Combien de personnes, après avoir été choquées par les attentats de Paris en Novembre 2015, se sont-elles intéressées au sort terrible des populations voisines des territoires dominés par Daesh ? Combien de personnes outrées, indignées, révoltées ont déclaré haut et fort qu’il fallait faire quelque chose,sans pour autant faire quoi que ce soit ? Combien de personnes encore, vont continuer à vivre leur vie chaque jour sans envisager même une seule seconde qu’il serait peut être temps d’agir et de s’engager selon ses possibilités ?
Heureusement, certains commencent à comprendre. L’association WADI, sollicitée par Mme Hoffmann pour aider les yézidis en Irak, met en place des camps de réfugiés dans les montagnes au nord du pays et installe des réfugiés le plus confortablement possible. Ils mettent également des psychologues à disposition des réfugiés. Voici le lien si vous souhaitez les contacter :
Ce témoignage a pour moi été d’une importance capitale. Il m'a permis de prendre conscience de nombreuses choses. Il est très singulier de savoir que tout ce qu’on lit, chaque mot, chaque phrase, chaque chapitre et toute l’histoire du livre est réel. Et l’on se dit qu'il y a vraiment, dans ce monde, une jeune fille nommée Farida d’à peu près mon âge, qui a CES croyances, CE vécu, CETTE histoire et qu'elle a connu l’enfer durant plusieurs mois alors même que je n’imaginais pas que ce genre de choses puisse encore exister ». Lorsque j’ai lu « le 15 août 2014... » le fait est que je me suis rendue compte que je savais exactement ce que j’avais fait ce jour là, deux ans auparavant... C’était l’été, j’étais dans le sud, entourée de ma famille, heureuse tandis que cette jeune fille voyait sa vie s’écrouler heure après heure... Je pense que c’est cela le plus dur, le plus bouleversant, le plus révoltant : se dire qu’on était à mille lieux de penser qu'à quelques milliers de kilomètre de là, une jeune fille ayant très bien pu être notre amie, était en train de se faire marchander par des hommes sans autre souci que celui de tuer au nom d’un Dieu normalement censé représenter la paix et l’amour...
Ju !
Nous voilà déjà en décembre, le temps passe très vite et la fin de l'année approche à grands pas. Mais avant que 2016 ne passe le flambeau à 2017, revenons ensemble sur les cinq principaux évènements sportifs de ces douze derniers mois. De Teddy Riner à Antoine Griezmann en passant par le Tour de France ou encore la Coupe Davis, cette année aura été chargée pour tous les passionnés de sport. L'heure est venue de faire le bilan mais rassurez-vous, 2017 s'annonce tout aussi riche en émotions !
1) Le Tournoi des Six Nations
Toujours très attendu par les fans de rugby, le Tournoi des Six Nations 2016 s’est déroulé du 6 février au 19 mars et a marqué le début d’une nouvelle ère pour l’Equipe de France. Après le fiasco de la Coupe du Monde quelques mois plus tôt et la raclée prise face à la Nouvelle-Zélande en quarts de finale (62-13), la fédération tricolore a nommé un nouveau sélectionneur en la personne de Guy Novès. Pour son premier tournoi à la tête des Bleus, l’ancien entraîneur du Stade Toulousain possède un objectif crucial : reconquérir le public français, déçu par les prestations récentes de la sélection, et lui redonner de l’espoir.
Le début du tournoi est prometteur : les Bleus affichent un visage plutôt séduisant et dominent l’Italie (23-21), puis l’Irlande (10-9). Malheureusement, la suite est plus compliquée puisque la formation tricolore enchaîne trois défaites d’affilée contre le Pays de Galles (19-10), l’Écosse (29-18) et l’Angleterre (21-31). Le XV de France termine finalement avant-dernier d’un tournoi dominé par les Anglais, qui remportent le titre avec cinq victoires en autant de rencontres. Malgré un classement peu flatteur, les Bleus auront tout de même montré de belles choses et le rugby français peut de nouveau entrevoir des lendemains plus heureux.
2) L'Euro 2016
Pour la première fois depuis 1998 et la Coupe du Monde remportée par les Bleus, la France accueille une compétition internationale de football ! Tout le monde est très impatient, d’autant que les Tricolores sont clairement candidats à la victoire finale. Le tournoi a lieu du 10 juin au 10 juillet et l’ambiance est bonne : mis à part un affrontement entre Russes et Anglais au début de la compétition, il règne une atmosphère joyeuse, notamment grâce aux supporters Irlandais, Nord-Irlandais et Gallois, qui font la fête partout où ils passent.
Sur le terrain, plusieurs surprises sont à noter. La Hongrie, l’Irlande du Nord, l’Islande et le Pays de Galle réalisent des parcours surprenants, tandis que l’Espagne, l’Angleterre ou encore la Belgique déçoivent. De son côté, la France tient son rang. Emmenés par Antoine Griezmann, Dimitri Payet ou encore Paul Pogba, les Bleus arrivent en demi-finale et battent l’Allemagne au Stade Vélodrome de Marseille (2-0). Dans une ambiance exceptionnelle, les joueurs communient avec leurs supporters, célébrant ainsi le retour au premier plan d’une Equipe de France enfin débarrassée de tous ses problèmes extra-sportifs. En finale, les Tricolores concèdent cependant une défaite peu méritée face au Portugal (1-0). Cet échec laisse un profond sentiment d’inachevé aux fans français, mais cet Euro restera cependant une très belle aventure.
3) Le Tour de France
Toujours suivi avec intérêt par la plupart des passionnés de sport en France, le Tour de France est parti cette année du Mont Saint-Michel, le 2 juillet, pour arriver – comme d’habitude – sur les Champs-Elysées, à Paris, le 24 juillet. Au terme d’un parcours long de 3529 kilomètres, c’est le britannique Christopher Froome qui s’est imposé, devant le français Romain Bardet, auteur d’une belle performance en terminant à la deuxième place. Le moment dont on se souviendra encore longtemps ? Cette image insolite de Christopher Froome à pied après une chute lors de la 12e étape, en attendant que son équipe lui donne un nouveau vélo.
4) Les Jeux Olympiques
Mais l’événement sportif incontournable de cette année avait lieu au Brésil, durant le mois d’août, et il s’agissait bien sûr des Jeux Olympiques d’été. Organisée tous les quatre ans et rassemblant à chaque édition des milliers de fans venus du monde entier, la compétition a tenu toutes ses promesses. Pour leurs derniers Jeux, les légendes Usain Bolt et Michael Phelps ont fait le show. Avec trois médailles d’or pour le sprinteur jamaïcain et cinq en or plus une en argent pour le nageur américain, les deux stars ont de nouveau écrasé la concurrence. Au classement des médailles, les Etats-Unis terminent en tête avec 121 breloques, dont 46 en or, tandis que la France se classe 7ème après des Jeux plutôt réussis. Malgré les contre-performances de Renaud Lavillenie (saut à la perche) et de Florent Manaudou (natation), la délégation tricolore a réussi une belle moisson de médailles. On retiendra notamment les prestations des Bleus en boxe ainsi qu’en judo, discipline dans laquelle Teddy Riner a réaffirmé sa domination mondiale. Les prochains Jeux d’été auront lieu en 2020, à Tokyo, au Japon.
5) La Coupe Davis
Terminons enfin avec du tennis, et plus précisément avec la Coupe Davis. Pour ceux qui ne connaissent pas cette compétition, tout est expliqué ici. À l’occasion du retour de Yannick Noah comme capitaine de l’Équipe de France, tous les fans de tennis espèrent un beau parcours de la part des Français. La sélection tricolore domine tout d’abord le Canada en huitièmes de finale, puis vient à bout de la République Tchèque en quarts. Cependant, pour leur demi-finale face à la Croatie, les Bleus sont privés de leurs deux champions Jo-Wilfried Tsonga et Gaël Monfils. Richard Gasquet décroche néanmoins le premier point face à Borna Coric, mais Marin Cilic égalise immédiatement en battant Lucas Pouille. Les Croates remportent ensuite le double, puis le redoutable Cilic domine Gasquet et envoie ainsi son équipe en finale. Les supporters bleus peuvent nourrir de grands regrets. C’est finalement l’Argentine qui remporte le tournoi en battant la Croatie en finale, en grande partie grâce à son leader Juan Martin del Potro, auteur d’une belle année 2016.
Antoine Gerard
Ce jeudi 1er décembre 2016, une allocution de François Hollande a été diffusée à 20h lors des journaux télévisés, mais aussi sur les grandes ondes. C'est sans savoir de quoi il allait être question, que les français ce sont réunis pour écouter le message du président.
Après un bilan mitigé de son quinquénat, ce dernier a annoncé qu'il ne se présenterait pas lors des prochaines élections présidentielles, un acte qu'il qualifie de "lucide" suite à une réflexion sur ses accomplissements en tant que président de la République. En effet, François Hollande souhaitait rassembler les français et il s'avère qu'ils se sont divisés. De plus, les résultats concernant le chômage, même s'ils sont selon lui bien présents, demeurent plus tardifs que prévu.
Hollande préfère donc ne pas se représenter, laissant ainsi le champs libre à la droite, mais aussi à la gauche, dont les primaires auront lieu le 22 janvier prochain. Aussi les principaux candidats pour les présidentielles sont pour l'instant Marine Le Pen, pour le Front National, Emmanuel Macron, représentant le parti indépendant "En marche !", et François Fillon pour la droite. Cette liste de candidats n'est pas exhaustive, pour plus de renseignements, nous vous invitons à vous rendre sur lien suivant :
En somme, le mystère reste entier concernant notre prochain président, nous invitons donc tous les citoyens majeurs de JDA à se mobiliser pour ces élections déterminantes pour la direction future de la France.
tchoup
Une nouveauté vient d'apparaître au lycée ! Un tout nouveau Club Manga vient d'ouvrir ses portes durant le temps de midi tous les lundi de la semaine B à 12h45 en salle 008 ! Si vous voulez y aller mais que vous craignez de manquer de temps à cause du passage au self, sachez que vous êtes PRIORITAIRES !
Au programme dans le club :
-De nombreux jeux sont organisés autour des mangas et animés.
-Si vous êtes dessinateur, partagez vos dessin durant ce temps convivial.
-Il y aura parfois des concours de dessins : tentez votre chance et devenez le champion dessinateur manga de JDA !
-Un Rôle Play est en cours de développement et sera bientôt disponible.
Rejoignez nous en tant qu'Otaku ou comme explorateur dans notre monde Manga !
DEVENEZ MEMBRE DU...
En ce mercredi 9 novembre 2016, le nouveau visage de l’Amérique a été désigné : Donald Trump. Avec 290 grands électeurs en sa faveur sur les 270 nécessaires pour gagner l’élection, le candidat républicain l’a emporté sur son adversaire démocrate, Hilary Clinton, qui a de son côté remporté 228 grands électeurs. Les premiers chiffres de l’Election Project, font état de seulement 54,2% de participation, ce qui révèle un taux très élevé d’abstention. Ces chiffres sont effectivement en hausse depuis les dernières élections présidentielles des Etats-Unis.
Donald Trump a la particularité de n’avoir aucun passé politique. Il préfère le plus souvent se présenter comme un businessman plutôt que comme un homme politique. Cette différence lui aurait-elle permit de gagner face à Hilary Clinton, figure connue du monde politique ? Peut-être. En effet, en tant que milliardaire Donald Trump a su attirer l’attention des américains, désireux de réaliser le fameux « American Dream ».
Le réel tournant de ces élections présidentielles américaines s’est joué au niveau des états dits « clés », également appelés « swing states ». En effet, ces états sont connus pour fréquemment changer de bord entre le Parti Républicain et le Parti Démocrate, il était donc primordial pour les candidats à la présidence d’obtenir leur vote. Ainsi, la Floride, la Pennsylvanie, l’Ohio, la Caroline du Nord et l’Iowa se sont rangés du côté du candidat républicain, tandis que seul le Nevada s’est révélé à majorité démocrate.
Pour voir les résultats état par état, visiter le lien suivant :
Malgré sa défaite, Mme Clinton s’est montrée digne en soutenant le nouveau président des États-Unis, et en lui souhaitant de « réussir en tant que président de tous les américains ». De même, le président Barack Obama a manifesté son soutien en insistant sur le fait qu’avant d’être démocrate, ou républicain, ils étaient tous américains. Voici une vidéo du premier discours de D.Trump après sa victoire aux élections présidentielles :
Etats-Unis: dans son discours de victoire, Trump se pose en rassembleur
François Hollande a réagi à l’élection américaine en évoquant une « période d’incertitudes » à venir, et en insistant sur la nécessité de clarifier, voire de reconsidérer les positions de Donald Trump sur la situation délicate au Moyen-Orient.
Enfin, l’élection de M. Trump à la tête de la plus grande puissance économique et militaire du monde a suscité diverses réactions à travers le monde. On note un certain enthousiasme de la part de Vladimir Poutine étant donné que D. Trump est favorable à sa politique interventionniste au Moyen-Orient.
Donald Trump sera donc le 45ème président des Etats-Unis d’Amérique, il s’assiéra pour la première fois dans le bureau ovale en janvier prochain.
tchoup
A l’approche des JMJ, de nombreuses questions sont posées : est-ce un lieu de rencontre ? Avec qui ? En quoi est-ce que cela consiste ? Doit-on être catho pour y aller ?
Les JMJ consistent en un grand rassemblement de jeunes du monde entier autour du Pape. Après avoir eu lieu pour la première fois en 1984 au Vatican, les JMJ ont pour habitude de se renouveler tous les trois ans. La 31e édition des JMJ s’est déroulée à Cracovie en Pologne du 26 juillet au 1er août et a rassemblé 2,6 millions de jeunes.
Voici deux témoignages de jeunes partis aux JMJ de Cracovie.
Je suis parti avec un groupe de 16-17 ans de La Communauté de l’Emmanuel. Logés dans des salles de classe ou des gymnases, nous avons rencontré tous les jours des jeunes européens ou d’autres venus de plus loin, comme des brésiliens, des canadiens et même des australiens !
Pendant une semaine, le matin s’est organisé autour de louanges, de moment dédiés à la catéchèse et de messes. L'après-midi se poursuivait avec le Festival de la Jeunesse (concerts, spectacles, expositions).
Le groupe de louange Glorious a donné un concert un soir avec un public de 30 000 jeunes dont la plupart étaient français.
Nous nous sommes tous retrouvés les samedi 30 et dimanche 31 juillet sur le campus Misericordiae. Nous étions ainsi 2,6 millions de jeunes rassemblés autour du Pape François réunis afin de prier pour la paix et pour les victimes des attaques du terrorisme.
Après avoir dormi sur place, nous avons assisté à la messe du lendemain matin sous une chaleur écrasante.
En écoutant la messe à la radio, nous avons entendu le Saint Père inviter les jeunes à ne pas végéter dans leur canapé mais à prendre des engagements, à dire oui et ainsi à « laisser une empreinte » pour « devenir les protagonistes de l’histoire ! »
Ces JMJ que j’ai vécues avec mon groupe ont été pour moi une expérience unique et incroyable que je renouvellerais avec joie.
Je remercie toutes les personnes qui ont contribué à l'organisation de cet événement notamment tous les Routiers et Guides ainées Scout d'Europe portés volontaires.
Constantin Debionne
De mon côté, je suis partie avec notre diocèse de Belley-Ars avec 6 autres membres de JDA. Avant d'assister aux « vraies » Journées Mondiales de la Jeunesse décrites par Constantin, nous avons passé quelques jours à visiter les hauts lieux de la Pologne comme Auschwitz et la cellule de St Maximilien Kolbe, Wadowice (ville natale de Karol Wojtyla alias JPII), Czestochowa (sanctuaire marial aussi important que Lourdes avec messe VIP devant l'icône de la Vierge Noire!) et enfin la ville de Cracovie (sa cathédrale, son château, ses pigeons....).
Devant la Vierge Noire et Jean-Paul II
Le concert de Wroclaw
Lors des JMJ, nous étions logés chez d'autres familles près de Myslenice à environ 35 km de Cracovie, et nous allions quotidiennement à Cracovie (vive le bus !) pour les célébrations avec le Pape, plus grandioses les unes que les autres. Enfin, l'apogée des JMJ avec le week-end final et la marche de 11 km pour accèder au Campus avec les cathos du monde entier, une ambiance de dingue, qui s'est clos sur l'annonce de Panama en 2019! Le Pape nous a dit, en plus de ce qu'a mentionné Constantin de "construire des ponts et non pas des murs" pour le monde dans lequel nous allons vivre...
Les drapeaux levés pour saluer le Pape
Si je devais résumer les JMJ en un seul mot, je choisirais "ambiance", ambiance de joie, de fête, d'amour, d'amitié, de fraternité, et une expérience spirituelle intense !
Le samedi 8 octobre s'est déroulé le "retour" sous le froid à Bourg-en Bresse, mais toujours dans la joie des retrouvailles et nous sommes prêts à témoigner de notre aventure à tous ceux qui veulent bien l'entendre !
Enora Saulé
Nous invitons tous les jeunes de 18 à 30 ans à se rendre à Panama en 2019 pour les prochains JMJ !
Je vous propose la recette de la tarte aux pommes, idéale pour le goûter ou le dessert !
Ingrédients :
1 pâte feuilletée
4 pommes
1 œufs
100 ml de crème entière liquide
Un peu de cannelle
1 demi sachet de sucre vanillé
1) Dérouler la pâte feuilletée dans un plat à tarte, puis piquer le fond à l’aide d’une fourchette (pour éviter que la pâte ne gonfle).
2) Découper les pommes en quartiers, et les disposer dans le plat.
3) Mélanger l’œuf et la crème, puis verser le mélange sur les pommes. Saupoudrer d’un peu de cannelle.
4) Préchauffer le four pendant une dizaine de minutes à 180°C, et enfourner pendant 35 à 40 minutes. A la sortie du four, saupoudrer de sucre vanillé.
Bon appétit !
Tchoup
T’en as marre d’enchaîner les plats de pâtes ou les sandwiches froids tous les soirs ? Et tu penses qu’un peu de verdure ne te ferait pas de mal ? Je te propose de découvrir comment cuisiner des petits pois…
Ingrédients (pour environ 2 portion) :
1 boîte de petits pois
Lardons
1 petit oignon
1 carotte
2 petites pommes de terre
1) Emincer l’oignon, puis le faire revenir avec les lardons dans une casserole chaude (si les oignons accrochent trop, ne pas hésiter à rajouter un filet d’huile de cuisson).
2) Ajouter les petits pois avec leur jus. Et laisser mijoter à feu moyen.
3) Eplucher carotte et pommes de terre, puis couper la carotte en rondelles et les pommes de terre en morceaux.
4) Ensuite, ajouter-les dans la casserole, laisser mijoter à feu moyen pendant environ 20 minutes, le temps que la carottes et les pommes de terre soient cuites. Penser à vérifier qu’il y ait suffisamment d’eau pour les petits pois n’accrochent pas au fond de la casserole, s’il en maque verser un verre d’eau directement dans la casserole.
5) Vérifier la cuisson des pommes de terre en plantant un couteau dedans, si en retirant le couteau la pomme de terre reste accrochée, elle n’est pas assez cuite.
6) Servir en faisant attention à ne pas mettre trop de jus dans l’assiette !
Bon appétit !
Ttchoup
Pour tous ceux qui viennent d'arriver suite à un déménagement,ou ceux qui vont bientôt partir vers de nouveaux horizons...
On sait ce que l'on quitte, pas ce que l'on va trouver. Ou alors on débarque dans un monde nouveau, avec de nouveaux codes, de nouvelles habitudes, voire une nouvelle langue. Dans les deux cas, la transition peut-être difficile, et les vacances de la Toussaint servent à faire le point. Voici mon expérience d'immersion totale, vécue il y a 9 ans, et le retour, il y 4 ans.
En 2007, je déménageai de Londres, où j'avais vécu 3 ans au milieu de français expatriés, vers La Barbade, une île anglophone des Caraïbes, à cause d'un changement de situation professionnelle de mon père, ce qui constitue une situation de plus en plus fréquente dans notre monde ultra mondialisé. Après un séjour « d'initiation » de trois semaines en Mai, nous avons déménagé en août. La rentrée fut mémorable : seule francophone dans une école locale anglophone, mes réactions ont déconcerté les institutrices, pourtant au courant de la situation ! Je ne connaissais que quelques expressions en anglais. J'exprimais le reste à l'aide de gestes ou en utilisant des pictogrammes... J'avais du mal à trouver ma place et mes repères, en tant qu'étrangère, blanche de surcroît, car les habitudes scolaires étaient radicalement différentes de ce que j'avais connu jusqu'à présent. Tous les autres se connaissaient de longue date et m'insérer dans leurs groupes fut difficile. J'avais du mal à entrer dans les conversations, et mes bégaiements timides les firent beaucoup rire.
Toutefois, les semaines aidant, je commençai à pouvoir communiquer. J'attrapai vite l'accent barbadien -cru et prononcé- et je me mis à créer des amitiés qui perdurent aujourd'hui. Je trouvais ma place dans cette société barbadienne grâce à l'école, qui me permit d'acquérir les notions fondamentales de la culture barbadienne : l'histoire, la géographie et les valeurs patriotiques telles que l'hymne national. Je participai aussi aux évenements culturels du pays. Le port de l'uniforme, par lequel nous revendiquions fièrement notre appartenance à l'école m'a aussi beaucoup aidée à me sentir intégrée.
Pour autant, je ne perdis pas mon identité française, renforcée à la maison où nous parlions français et où nous suivions des cours par correspondance pour suivre le programme français. Deux fois par an, nous rentrions en France pour voir notre famille, et cela y contribuait aussi.
Ainsi passèrent quatre années, pendantlesquelles j'ai été complètement intégrée dans la société barbadienne via la langue, l'école, la paroisse... En CM2, je dus passer l'examen national de fin de primaire, pour accèder à la sixième. Cela acheva de me démontrer que je faisais vraiment partie intégrante de Barbados, car moi, la petite française blanche qui ne parlait pas un mot d'anglais quatre ans auparavant, j'avais réussi à obtenir la meilleure note de la promo ! Cette fierté immensurable est toujours en moi aujourd'hui.
À la mi-janvier 2012, j'appris que nous allions déménager (encore !) Cette fois-ci, le retour vers la France était définitif. Je n'en avais strictement aucune envie, même si je savais que c'était raisonnable surtout pour nos études, et que cela devait forcément arriver un jour. Mes parents n'envisageaient pas pour nous, qui étions devenues trop barbadiennes à leur goût, de projeter nos vies et nos études sur cette île minuscule. Par ailleurs, d'autres perspectives profesionnelles s'offraient sur Genève. La maison se remplit de cartons.
Quelques semaines avant le départ, nous avons fait une grande fête avec tous, tous, TOUS nos amis. Ce fut à la fois joyeux et triste. Les autres étaient heureux de nous voir rentrer dans cette France dont ils avaient tant entendu parler, mais tristes de nous voir partir. Pour ma part, je étais uniquement triste. La France, que je ne connaissais que par les descriptions des livres de géographie, des romans, par les récits de mes cousins, ou encore par les endroits que nous avions visités en vacances, me semblait bien inhospitalière et en tout cas trop civilisée, trop éloignée de la vie simple, proche de la nature et de l'océan, que nous menions.
La rentrée des classes en cinquième fut très dure. Je vécus de nouveau un choc énorme des cultures et des codes. J'appris douloureusement qu'en France, on ne mettait pas de jupes à pois associés à des collants à rayures ! Ils étaient bien loin nos uniformes tout simples et nos maillots de bains… Et il faisait tellement froid dans ce « pays de fous », que j'enfilai ma doudoune dès la fin septembre. Ingénuement, les autres m'ont demandé ce que je ferai en janvier, alors qu'il ferait vraiment froid. À l'aide ! Mes amies me manquaient terriblement, et j'eus un mal fou à m'intégrer. Pourtant, cette fois-ci la langue était la même.
En repensant à cette période difficile, je suis bien contente de l'avoir traversée en limitant la casse. Maintenant que me voici intégrée en France, je regrette souvent ma vie antérieure, car mon identité barbadienne s'amenuise de jour en jour, et je ne pourrai bientôt plus la retrouver.
Donc bonne chance à toi qui arrives ou repars. Saches que c'est une expérience incroyable, qui reste chaque jour de ta vie comme une partie intégrante de ta personne. Ne renie pas tes origines, prend-les comme des atouts, qui te permettront de te démarquer de la masse. Garde tous tes amis dispersés sur le globe. Ils te rappelleront d'où tu viens. Reste toujours toi-même, et n'oublie pas d'où tu viens lorsque tu t'en vas.
Enora Saulé
En ce premier article du « Moi, Président à Jeanne d’Arc », nos éventuels futurs présidents se rejoignent plus ou moins au sujet d’une réforme touchant le lobbying des Firmes Transnationales. En effet, pour comprendre le point de vue de nos deux Présidents, il faut d’abord saisir l’immense impact du lobbying des FTN.
Source : http://www.nawak-illustrations.fr/le-lobbying-pro-gaz-de-schiste-sintensifie-en-france/
Les Firmes Transnationales sont de grandes entreprises dont les activités sont implantées dans au moins cinq pays différents. Ces entreprises cherchent avant tout le profit. Pour cela elles font pression sur les gouvernements afin d’obtenir une législation qui leur est avantageuse. C’est ce que l’on appelle le « lobbying ». Les Etats cèdent souvent à cette pression des FTN, car ces dernières permettent de créer de l’emploi. Cependant, elles ne participent pas réellement à l’économie des pays « d’accueils » puisque les profits reviennent dans le pays « d’origine » où se trouve le siège de l’entreprise. En d’autres termes, le lobbying permet aux FTN de protéger leurs intérêts.
Téo, Terminale S :
« Moi, Président, je reprendrais le contrôle face aux FTN, en armant mon pays face au lobbying. Pour cela, il faudrait supprimer toutes les personnes qui pourraient être corrompues, c’est-à-dire réduire les pouvoirs de l’Assemblée Nationale et les remplacer par une consultation de tous les français par Internet. »
Arthur, Terminale S :
« Moi, Président, j’interdirais le lobbying car je pense que les grandes marques, qui ne pensent qu’aux bénéfices, n’ont pas à régir notre façon de vivre. En ce moment dans l’hémicycle, la loi Sapin 2 représente tout à fait cette idée : on cherche à réglementer ce lobbying, voire à le rendre illégal. Le texte de cette loi est passé plusieurs fois du Sénat à l’Assemblée Nationale, mais l’article concernant le lobbying n’est pas passé. Pour moi ce projet est donc toujours en cours, et je ferais passer cette loi. En effet, je pense que les grandes marques influencent l’Etat, si bien que nous ne sommes plus une démocratie car le pouvoir n’est plus au peuple… Enfin, il ne faut pas se leurrer, la démocratie n’existe plus depuis bien longtemps. En tout cas, il faut agir, et de nos jours, exceptés les ministres de l’écologie et de l’économie, personne n’agit pour changer les choses. »
Arthur a également souhaité joindre le lien suivant à son interview : http://www.bloomassociation.org/lencadrement-lobbies-loi-sapin-2-gruyere
Tchoup
Nous entendons souvent cette expression dans les critiques de films, de livres… Avons-nous vraiment besoin de mettre les choses "à hauteur d’Homme" ? Ne mangions-nous pas assez de soupe lors de notre tendre jeunesse ?
Si quelque chose peut être à hauteur d’Homme, cela veut dire qu’il existe une hauteur optimale pour l’être humain. Une hauteur où il pourrait observer, apprendre, comprendre. C’est fabuleux ! Alors, pourquoi ne pas mettre tous nos meubles à cette hauteur ? Notre monde en serait profondément bouleversé !
Ce qui n’est pas à hauteur d’Homme a donc besoin d’être rabaissé. Ou bien rehaussé. En tout cas, les objets qui sont mal dimensionnés ont été mal conçus ! La guerre en Syrie, serait-elle trop éloignée de la bonne taille ? Avons-nous besoin de la rabaisser pour pouvoir l’englober ? Ou alors de la rehausser pour pouvoir l’appréhender ?
Selon le Dictionnaire Larousse de Poche 2014, rabaisser signifie « mettre plus bas, diminuer l’autorité l’influence. » Avons-nous peur que l’émission de Capital sur le formidable marché des petits pois bouleverse à jamais notre vision du monde ? Avons-nous conçu des marches à ce point trop hautes que même Bastien Cadeac, le présentateur de Capital, ne parvient pas à nous élever ? Personne ne nous aurait appris à monter des marches lors de notre enfance idyllique ! Quelle lacune !
Toujours selon le même dictionnaire, rehausser signifie « placer plus haut, donner plus de valeur, plus de force. » Aurions-nous un surplus de force pour replacer tout en haut de l’étagère le dictionnaire de tata Ginette? Faudrait-il alourdir ce dictionnaire que tout le monde connaît déjà si bien ?
Quoi qu’il en soit, notre monde a vraiment besoin d’être recalibré. D’ailleurs, j’ai entendu dire que les parlementaires envisageaient de standardiser les dimensions de la hauteur optimale. Ils débattent pour savoir s’ils prendraient plutôt la taille de Secret Story ? Ou alors celle de la Cop 21 ?
Lorsque tous les meubles seront standardisés, comment fera le chien de Bernard pour rentrer dans sa niche ? Et que feront les hommes qui ne font pas la bonne taille ? Seront-ils encore même des hommes ? Si Bernard ne peut pas rentrer dans son lit Ikea, devra-t-il se couper les pieds ?
L'allumeur de réverbère
La rubrique actu Gaming reprend ! Nouvelle équipe, nouvelle formule !
Pour cette nouvelle version, j'évoquerai un seul jeu par article. J'en donnerai les informations principales, j'évoquerai les critiques des joueurs et des testeurs et vous donnerai mon avis personnel sur le jeu en temps que gamer. J'espère que ça vous plaira !
Et on commence fort avec Zelda Ocarina of Time !
The Legend of Zelda Ocarina of Time ou Zelda 64 se passe dans le royaume d'Hyrule où la paix règne grâce à la famille royale. Un jeune garcon de la forêt Kokiri, Link, vit paisiblemment avec les Kokiris et sa meilleur amie, Saria. Mais un jour, le Grand Arbre Mojo, protecteur de la forêt et chef du village Kokiri, se fait maudire par une créature des ténèbre qui cause ainsi sa perte. Avant de mourir, il confie à Link une fée, Navi et lui remet l'émeraude Kokiri avec la mission de trouver la princesse Zelda au château d'Hyrule. Une fois trouvée, la princesse dit à Link que Ganondorf, le chef des Gerudos, complote dans l'ombre pour s'emparer de la triforce et dominer le monde. Elle confie alors à Link la tâche de trouver le rubis Gauron et le saphir Zora. Une fois sa mission accomplie, Link retourne au château d'Hyrule mais constate que Ganondorf a ourdi un coup d'état. La princesse Zelda s'enfuit en donnant à Link l'Ocarina du Temps permettant d'ouvrir le Saint Royaume. Avec l'aide de l'Ocarina et des trois gemmes, Link ouvre la porte du Saint Royaume et trouve la Master Sword, l'Épée de Légende. Cependant en la retirant de son socle, Link se retrouve plongé dans un sommeil long de sept ans. Quand il se réveille, il rencontre Rauru, L'un des sept sages. Celui-ci lui explique que durant son sommeil, la porte du Saint Royaume s'est ouverte et que Ganondorf en a profité pour s'emparer de la triforce. Link devra alors retrouver les six sages restant pour affronter Ganandorf et ramener la paix en Hyrule.
The legend of Zelda Ocarina of Time est un jeu sorti le 21 Novembre 1998 au Japon et le 11 décembre 1998 en Europe sur la Nintendo 64, sous le nom de Zelda 64. Il est le cinquième opus de la franchise The Legend of Zelda. Le projet du jeu débute en 1995 avec une équipe importante car il est est développé par Shigeru Miyamoto, créateur de jeux tels que Zelda, Mario, Donkey Kong et d'autres. Miyamoto en est d'abord le développeur, puis il devient chef de projet quand le retard commence à s'accumuler. Il est assisté de cinq directeur de Nintendo. Toru Osawa est chargé du script et du scénario. Yoichi Yamada et Eiji Aonuma sont créateurs de six donjons, de la plupart des ennemis présent dans le jeu, des combats ainsi que de quelques Story-Boards. Ils se chargent aussi du système de jeu. Yoshiaki Koizumi est responsable du système 3D, mais aussi de la création de Link, d'Epona, la jument de Link, des environnements 3D et des objets. Toshio Iwawaki, de l'entreprise SRD, est enfin responsable du développement de la caméra. La musique est composée par Koji Kondo connu dans le milieu pour avoir créé la musique de The Legend of Zelda, A Link to the Past ou encore la série des Super Mario. Plus de 120 personnes sont impliquées dans le développement du jeu. On compte même des cascadeurs, qui reproduisent les mouvements de Link ainsi que les combats à l'épée.
Shigeru Miyamoto.
Le jeu, équipé de développements assez importants, prend du retard à cause d'un autre jeu de Nintendo, Mario 64, qui fera l'objet d'un prochain article. En effet les années 90 représentent un énorme challenge pour les jeux vidéos, celui de passer de la 2D à la 3D. C'est pourquoi Nintendo préfère dévolopper en priorité le jeu Mario 64, mascotte de Nintendo, ce qui entraîne un ralentissement dans le développement de Zelda 64.
Cependant retard n'est pas synonyme de manque d'idées ! Et des bonnes idées, Zelda 64 en a une bonne panoplie !
Tout d'abord, la gestion de la caméra est nouvelle et tout à fait révolutionnaire, aussi bien dans le jeu vidéo que dans la franchise Zelda. Finie la vue de dessus, ici on voit son personnage de dos et l'on a la possibilité de déplacer la caméra pour observer autour de soi. Le système de combat ne chôme pas non plus ! Quand un ennemi arrive, un système de visée permet de ne plus quitter son adversaire des yeux, ce qui nous laisse le temps de tourner autour de lui, de trouver une ou des ouvertures et de l'attaquer. Pour les objet, on gardera une vue à la troisième personne pour des objets qui demandent peu de présicion comme les bombes et on adoptera une vue à la première personne pour les objet exigeant plus de doigté comme l'arc, le grappin ou encore le lance-pierre.
Les donjons offrent aussi un vent de fraicheur. On devra passer par toutes les salles du donjon pour terminer le jeu. Il faudra résoudre des casse-têtes certes peu difficiles, mais qui nous font réfléchir et nous obligent à utiliser astucieusement les objets spécifiques à un donjon, tels que le grappin pour le temple de l'eau, le monocle de vérité pour le temple de l'ombre etc... Les boss quant à eux devront être battus en utilisant les astuces utilisées dans le donjon ce qui permet au joueur de revoir des technique qui lui seront utiles dans tout le jeu. De plus le jeu permet un mode plus difficile pour les amateurs d'énigme et de frisson : la Master Quest, qui est vendue avec l'édition Collector sur la version Nintendo 64. Cela rajoute à la quête principale de multitudes quêtes annexes qui allongent la durée du jeu. Ainsi, vous pouvez partir à la recherche de l'épée Bigoron qui est l'épée la plus puissante du jeu.
Mais il ne faut surtout pas oublier l'une des mécanique principale du jeu : Le voyage temporel. Pendant toute l'aventure, on devra alterner entre le passé et le futur pour surmonter des obstacles. Ainsi, jouer le chant du temps dans le moulin dans le passé débloque par exemple un donjon dans le futur. Cette alternance entre les époques rajoute au charme et de la fluidité au jeu.
Système de visée automatique
Le jeu connaîtra un succès mondial avec plus de dix millions de ventes, en combinant les ventes sur Nintendo 64, Gamecube et son remake sur 3DS. Deux millions et demi de cartouches seront vendues en 39 jours ce qui est un chiffre énorme !!! Ce jeu a reçu le prix du jeu le plus vendu dans un court laps de temps. Six millions d'exemplaires sont vendus en huit semaines dont 80 000 le premier jour ! Ces chiffres font de ce jeu l'un des plus vendus de tous les temps.
Bongo Bongo : Boss du temple de l'ombre
Évoquons maintenant la critique.
Sur ce point, Zelda Ocarina of Time explose tous les records : il reçoit la note maximale de nombreux magazines avec des critiques comme: "Graphique beau, riche et varié ou touche magique", "Gamplay impeccable" ou encore "Merveilleuses mélodies". On peut même lire que "les thèmes remixés du remake nous arrachent des larmes". Il reçoit le prix du meilleur jeu vidéo de l'histoire et arrive premier des "100 jeux auxquels les gens devraient jouer de nos jours". Il arrive en deuxième place des "100 meilleurs jeux de tout les temps" derrière Mario 64 et gagne le grand prix du Japan Media Arts Festival.
Mais ce sont des critiques de magazines et de testeurs professionnels. Qu'en disent les joueurs ? Et bien ils sont unanimes : Zelda Ocarina of Time est une merveille ! Beaucoup de joueurs considèrent ce jeu comme leur favori et comme le meilleur jeu qui ait jamais existé. Il est sans doute l'un des jeux qui a marqué le plus le monde du jeu vidéo et restera à ce titre dans les mémoires des gamers.
Maintenant mon avis personnel sur le jeu.
J'irai droit au but : Ce jeu est l'un des meilleurs jeux auquel j'aie jamais joué. C'est pour ce jeu que j'ai acheté la 3DS. Cela fait longtemps que j'ai fini le jeu et la Master Quest, mais j'éprouve encore du plaisir à galoper sur mon cheval à travers la plaine d'Hyrule en écoutant les musiques comme le chant du temps ou le chant des tempêtes qui m'ont marqué et sont pour moi les deux meilleures musiques du jeu et de la fanchise.
C'est pourquoi si vous n'avez pas encore joué à Zelda Ocarina of Time, je ne peux que vous conseiller de l'essayer sans plus attendre, vous ne serez pas déçus !!!
Link retirant l'Épée de légende de son socle
Shuga
